L\’association Stéphane Lamart \ »Pour la Défense des Droits des Animaux\ » se réjouit de l\’instauration de la TVA qui touche les éleveurs et les animaleries. – Le Guide des dons legs et donations
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L\’association Stéphane Lamart \ »Pour la Défense des Droits des Animaux\ » se réjouit de l\’instauration de la TVA qui touche les éleveurs et les animaleries.

L\’association Stéphane Lamart \ »Pour la Défense des Droits des Animaux\ » se réjouit de l\’instauration de la TVA qui touche les éleveurs et les animaleries.

Stéphane LAMART, président-fondateur de l\’association, explique sa position en ces termes :

\ »Bien que les opposants manifestent et prétendent que cette TVA risque de tuer leur commerce, je ne peux que me réjouir de cette décision car, enfin, les animaux victimes d\’abandons tout au long de l\’année, auront une chance de trouver preneur au lieu de finir leurs jours derrière des barreaux. Je rappelle le besoin urgent d\’adopter ces animaux abandonnés dans les refuges plutôt que de les acheter dans les élevages ou les animaleries. En effet, ces organismes entretiennent un business et s\’enrichissent sur le dos des animaux qui ne reçoivent pas les soins et l\’attention auxquels ils ont droit.

Sans se soucier de leur devenir, ces animaux sont vendus à des personnes irresponsables, sans contrôle préalable et se retrouvent pour beaucoup réinjectés dans l\’enfer du circuit des abandons. Pour certains d\’entre eux, c\’est aussi de la maltraitance dont ils sont les victimes.

Trop souvent, chiens, chats ou NAC sont abandonnés par des personnes bien peu scrupuleuses et regrettant leur achat, face à la responsabilité que la détention d\’un être vivant impose.\ »

C\’est la raison pour laquelle, à mon sens, cette TVA est bénéfique pour la protection animale. On a bien instauré une taxe sur le tabac pour que les gens fument moins, pourquoi n\’y aurait-il pas une taxe pour éviter ces dérives avec des être vivants ?

De plus, je demande qu\’un pourcentage du chiffre d\’affaire des éleveurs et des animaleries soit reversé aux refuges qui accueillent ces animaux, les soignent et les nourrissent tout au long de l\’année. Si ces animaux n\’avaient pas été vendus de manière inconsidérée à n\’importe qui, les refuges n\’auraient pas à faire face aux énormes frais que leur hébergement impose, ni à cette surpopulation animale.\ »

L\’association Stéphane Lamart rappelle que beaucoup de personnes n\’achètent un animal que pour \ »arrondir leurs fins de mois\ » grâce à la reproduction. Ce qui ne fait qu\’augmenter les risques de surpopulation et entretient le business des éleveurs et des animaleries.

En France, ce ne sont pas moins de 100 000 animaux qui sont abandonnés chaque année et 250 000 euthanasies.